MOBILITÉ : RETOUR AU BON SENS ET PRIORITÉ A LA FLUIDITÉ !
Ces dernières années, les mesures restreignant l’usage de la voiture se sont multipliées. On a tout récemment franchi un nouveau stade : celui de culpabiliser l’automobiliste en le rendant responsable de tous les maux de la planète (sans, bien entendu, renoncer à la manne colossale que représentent les taxes diverses que l’Etat encaisse pour des motifs très éloignés de l’entretien des routes).
La DROITE POPULAIRE entend bien faire cesser ce « car-bashing » en partant de constats sans appel : aujourd’hui – et pour des années encore – les voitures existent parce que les citoyens en ont besoin. Il n’y a aucune alternative crédible à l’automobile ; même pas les transports en commun.
La possession et l’usage d’une voiture est de plus un pilier de la liberté individuelle.
La mobilité dite douce n’est applicable que très localement et ponctuellement.
Il importe donc de mettre tout en œuvre pour que l’on circule mieux : cela passe par des mesures favorisant la fluidité du trafic et par des infrastructures adaptées au charroi existant.
C’est tout l’inverse auquel nous assistons malheureusement depuis trop longtemps pour des raisons purement idéologiques.
Voici quelques mesures emblématiques que promeut la DROITE POPULAIRE :
- Augmenter à 130 Km/h la vitesse maximale sur autoroute, en cohérence avec nos voisins de France et du Luxembourg, ainsi qu’avec l’Allemagne où il s’agit d’une vitesse recommandée mais non limitée. En effet les performances des voitures ont évolué depuis la fixation de la limite de 120Km/h dans les années 1970, en particulier au niveau de la distance de freinage et de la sécurité passive (sans parler des systèmes de sécurité active qui se multiplient) : il est temps d’évoluer avec son temps ! Rappelons que la limitation à 120km est intervenue dans la suite de l’embargo pétrolier de l’OPEP en octobre 1973. Economiser le pétrole était la première et seule raison à cette mesure qui devait être provisoire. Est venue ensuite la sécurité routière et la lutte contre les accidents de la route ; dans le même temps où les constructeurs ont fait des progrès inouïs dans la technologie sécuritaire, les pouvoirs publics, eux, ont arrêté d’entretenir les voies et voiries rendant les routes belges les plus accidentogènes d’Europe occidentale. Depuis quelques années, pour des raisons toujours plus idéologiques, la vitesse est faussement présentée comme un obstacle à la baisse de l’émission de Co2. La DROITE POPULAIRE combat ces fausses informations.
- Relever à 80 Km/h la vitesse minimale sur ces mêmes autoroutes.
- Instaurer la phase transitoire « orange+rouge » sur les feux de signalisation quelques secondes avant le passage au vert (comme cela se fait en Allemagne, en Angleterre, …). La motivation : de plus en plus de voitures sont équipées de systèmes « stop & start », et pouvoir anticiper ne serait-ce que d’une seconde le redémarrage de son moteur est certainement un plus pour la fluidité du trafic et la mobilité globale, si davantage de voitures passent à la phase verte.
- Favoriser la mobilité des deux-roues motorisés :
- en leur permettant d’utiliser les zones avancées « vélos » qui se trouvent juste en amont de nombreux carrefours en ville ;
- en modifiant l’écartement des marquages au sol sur les axes régulièrement embouteillés (par exemple sur le ring de Bruxelles), en instaurant une séparation visuelle de 50cm de large entre la 2e et la 3e bande, pour permettre aux motards de remonter les files en toute sécurité
- Permettre aux deux roues de circuler à vitesse limitée sur les bandes d’arrêt d’urgence en cas de forte de densité de trafic.
- Supprimer autant que possible les priorités de droite en agglomération. Ce sont en effet des freins avérés à la fluidité du trafic sur certains axes qui sont critiques au niveau de la mobilité et de l’accessibilité dans certains quartiers. Le bon sens permet dans presque tous les cas d’établir quel est l’axe prioritaire. En particulier, toutes les priorités de droite où il est impossible de voir si quelqu’un arrive sans devoir s’arrêter doivent être supprimées : c’est à la fois un non-sens pour la mobilité et pour la sécurité.
- Stopper l’épidémie d’aménagements de casse-vitesse, de rétrécissements, de chicanes et autres dispositifs nuisant à la fluidité du trafic. Démanteler tous ceux qui ne présentent pas de nécessité absolue. Les casses-vitesse ne se justifient, en effet, que dans les quartiers purement résidentiels afin de permettre à leurs habitants de circuler en sécurité ; comme aux abords des établissements scolaires.
- Réduire les « Zones 30 » aux endroits strictement nécessaire, comme les abords des écoles, les sorties de métro et toutes les zones à forte concentration de piétons. Dans ce cas, instaurer une signalisation intelligente : panneaux adaptatifs qui limitent leur application aux heures scolaires en semaine. Supprimer les « zones 30 généralisées » qui n’ont aucune justification logique mais ont seulement été imposées pour des motifs idéologiques.
- Abolir les LEZ (zones de basse émission) qui sont anticonstitutionnelles. En effet le législateur a émis des normes pour les véhicules. Chaque véhicule détenteur d’un Certificat de conformité et d’un Contrôle technique annuel doit être libre de circuler sur l’ensemble du territoire. Il n’appartient pas à un pouvoir local, fusse-t-il régional, de limiter la liberté de circuler qui doit être totale sur l’ensemble du pays. Si certains véhicules se révèlent être trop polluants, il appartient au législateur, et à lui seul, de relever les normes et d’en interdire la circulation sur l’ensemble du territoire national.
- A l’exemple récent de la Ville de Montréal, et après plusieurs morts, il convient d’interdire les trottinettes électriques en libre-service particulièrement dangereuses pour les autres usagers. L’expérience fâcheuse a démontré l’irrespect total des utilisateurs pour le vivre-ensemble et la dangerosité extrême de ces engins dont 80% des utilisateurs sont des délinquants au code de la route.
- De même, il s’agit de mieux réglementer l’usage des vélos en libre-service avec obligation de les stationner dans des stations fixes. D’une manière générale, les utilisateurs de vélos doivent être contraints à respecter strictement le code de la route comme les autres usagers. Ni plus, ni moins.
La DROITE POPULAIRE, c’est la volonté d’avancer, c’est la volonté de préserver vos libertés tout en assurant votre sécurité.